L’eau est indispensable à la vie, mais quelle eau boire?


Sans eau, l’espérance de vie est extrêmement limitée. Elle est donc primordiale. 

Avec l’air, c’est probablement le bien le plus précieux, donc à soigner et à protéger avec soin. 
Environ 65% du poids du corps d’un adulte et jusqu’à 78% pour un bébé sont représentés par l’eau. Avec l’avancée dans l’âge, les tissus ont tendance à se déshydrater. Environ 90% du cerveau est constitué d’eau, 79% pour le cœur, 76% pour les muscles, 70% dans le foie, 22% dans les os… Si on peut survivre plusieurs jours, plus d’un mois,  sans manger, il est impossible de dépasser quelques jours sans boire. Les pertes en eau sont permanentes, environ 2,5 litres par jour, nous éliminons par les différents émonctoires, surtout par les reins, les poumons et la peau.

 C’est pourquoi l’apport en eau doit être régulier, sans attendre d’avoir soif. Le signal de soif signifie que nous sommes déjà en déficit. Les pertes se font en fonction de différents facteurs, comme la chaleur et la dépense physique. L’apport en eau se fait par l’alimentation, environ 1 litre par jour et  la boisson, environ 1,5 litres par jour, en fonction de la corpulence, la chaleur et la dépense physique.

 C’est aussi dans l’eau que nous consommons que notre corps puise une partie des sels minéraux et des oligo-éléments qui interviennent dans le métabolisme et le bon fonctionnement de notre corps. A ce titre, l’eau contribue directement à notre bien-être et à notre santé.

 Les vertus thérapeutiques de certaines eaux minéralisées sont ainsi connues depuis la plus haute Antiquité. Mais il aura fallu attendre le 19e siècle pour comprendre, avec Pasteur, que l’eau pouvait aussi transmettre des maladies, dont certaines pouvaient être mortelles.

Présents en quantités importantes dans le corps humain, dont ils représentent 4% du poids, les sels minéraux et les oligo-éléments sont indispensables à notre santé. Ce sont des éléments chimiques que l’on trouve dans la nature sous forme de minéraux ou de cristaux, qui représentent des substances fondamentales pour notre métabolisme.

 Les oligo-éléments, du grec « oligo » qui signifie "peu", sont, quant à eux, des métaux ou des métalloïdes présents dans le corps en très faible quantité, mais de manière constante.

Chaque fois que nous éliminons de l’eau de notre organisme, notamment par la transpiration et l’urine, nous perdons aussi une partie de ces sels minéraux et de ces oligo-éléments. Notre organisme étant incapable de synthétiser ces différentes substances, nous devons donc compenser ces pertes par l’alimentation et la boisson.

 Dans le ventre maternel, notre vie commence dans l'eau. Par la suite, l'eau diversifie ses fonctions. Elle devient tout à la fois transporteur, éboueur, énergéticien, penseur et messager... Elle nous aide à respirer et à nous protéger des microbes. Mais avant tout, l'eau est d'abord... architecte. Incroyable paradoxe: nous tenons debout parce que nous sommes faits d'eau !

L'eau transporte globules, nutriments qu'elle élimine, récupère et recycle notamment pendant la digestion. Elle transporte jusqu’au cœur des cellules un certain nombre de substances qui leur sont indispensables, comme les sels minéraux par exemple. S'agit-il de respirer, l'eau transporte globules rouges et dissout les gaz.

 L'eau participe enfin aux nombreuses réactions chimiques dont notre corps est en permanence le siège. L’eau joue donc un rôle considérable dans le fonctionnement de notre corps. Elle intervient dans la régulation thermique et aide au maintien d’une température constante à l’intérieur du corps par le biais de la transpiration.

L'eau protège notre corps, elle supporte les globules blancs et les anticorps. L'eau fabrique les ions nécessaires au système nerveux. 82 % de notre cerveau est composé d'eau et cette dernière transmet les influx nerveux et les hormones. L'eau participe au « nettoyage » de l’organisme en facilitant le travail des reins et l’évacuation urinaire des déchets du métabolisme.

L'eau fabrique nutriments, globules, cellules... elle irrigue la peau. L'eau structure la matière vivante grâce aux mécanismes hydrophiles et hydrophobes liés à la molécule H2O. 

L'eau est le constituant essentiel des cellules (40 %), l'eau occupe l'espace intercellulaire, servant de réserve aux cellules et aux vaisseaux sanguins. Le reste est contenu dans le sang et la lymphe, et circule en permanence dans tout l'organisme.

 Nous sommes nés dans l’eau, nous sommes faits d’eau, nous baignons dans l’eau, le cycle de l’eau est cycle de vie, c’est notre expérience quotidienne.

Pour maintenir l'organisme en bonne santé, les pertes en eau doivent toujours être compensées par les apports. La soif est d'ailleurs un mécanisme par lequel le corps avertit qu'il est en état de déshydratation et c'est pourquoi il vaut mieux ne pas attendre d'avoir soif pour boire.

 Voici un résumé des principaux systèmes de filtration et critères de qualité qui font que votre eau va être absorbée, assimilée par vos tissus et vos organes et jouer son rôle de transporteur si important pour toutes les réactions biophysiques et biochimiques de vos cellules.

L’eau du robinet

Soumise à des normes sanitaires très strictes, l’eau du robinet, est le produit alimentaire le plus contrôlé en France. Avec des normes (quantité d’un élément que l’on peut retrouver dans l’eau sans risquer d’affecter sa santé à long terme) jusqu’à vingt fois inférieurs à ceux préconisés par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), et plusieurs dizaines de paramètres de qualité (taux de benzène, de germes, de chlorites, etc.). Si, au niveau bactériologique, il n’y a rien à redire, au niveau chimique, en revanche…

Une eau très contrôlée, oui, mais...

Si l'eau potable est effectivement très surveillée en France, que se passe-t-il entre le moment où la contamination survient et celui où une analyse va la révéler et déclencher une alerte ? Il est fort à parier que de nombreux utilisateurs auront bu de cette eau souillée et que les premiers désagréments se seront fait sentir. Sans parler des contaminations passagères ou très localisées, qu'aucune analyse ne détectera jamais. Se pose également la question des contaminants que les analyses ne recherchent pas. Ce fut le cas de la N-Nitrosomorpholine trouvée dans l'eau potable de Bolbec en 2012, suite à une évolution des protocoles 

1er problème important : l’eau du robinet contient des nitrates. Utilisés dans les engrais, ils infiltrent les sols, et les nappes phréatiques, rivières, lacs, qui nous alimentent en eau courante. Une fois dans notre corps, les nitrates affectent le transfert de l’oxygène. Directement lié à l’agriculture intensive, leur taux dans l’eau ne cesse d’augmenter. Alors, même si celle-ci est traitée, le seuil de nitrates autorisé peut être dépassé de manière chronique ou accidentelle, particulièrement dans le Bassin parisien et en Bretagne et dans les régions agricoles

 2ème problème important : l’eau courante contient du chlore. Si celui-ci présente l’avantage d’empêcher toute contamination bactérienne, il altère la flore de notre tube digestif.

 3ème problème important : le calcaire, qui pourrait finir par encrasser notre organisme. « Ce qui se passe dans vos casseroles se passe aussi dans votre corps », rappelle le biologiste Jacques Collin. Sans oublier la présence variable de micropolluants (pesticides, fongicides, antibiotiques…) qui coûteraient trop cher à filtrer par les fournisseurs d’eau

 Quelles solutions adopter à titre particulier ?

Se tenir informé est la première des précautions à prendre. Les mairies doivent afficher de façon systématique les résultats des différentes analyses, mais ceux-ci figurent également sur le site du Ministère de la Santé. La carte interactive illustrant la qualité de l’eau du robinet de votre commune au regard de 6 contaminants est aussi un élément à prendre en compte.

L'étape suivante consiste à s'équiper d'un appareil de filtration de l'eau performant adapté au type de contamination dont on souhaite se prémunir : système de microfiltration sur évier ou sytème filtrant sous évier ou osmoseur domestique et de dynamisation.
Une fois protégé par ce dispositif, il suffira de veiller à son entretien régulier afin de disposer en permanence d'une eau de qualité irréprochable

  La pureté

Pour laver efficacement les cellules de votre corps, il vous faut absorber une eau pure ! Ce n’est pas si évident aujourd’hui, tant l’eau de la ville comme les eaux en bouteille de PET (= polytéréphtalate d'éthylène), présentent des défauts sur ce point. L’eau courante contient de nombreux résidus de médicaments et de pesticides agricoles. L’eau en bouteille, outre son côté anti-écologique lié au plastique rejeté dans l’environnement, contient des aldéhydes toxiques et de l’antimoine .

L’eau en bouteille

Cette solution n’est pas non plus sans inconvénients. La fabrication et le transport des bouteilles, puis les déchets de verre et de plastique posent en effet un double problème sur le plan écologique. Il faut aussi distinguer les eaux minérales des eaux de source. 

Les eaux minérales contiennent des sels minéraux et des oligoéléments qui possèdent des vertus thérapeutiques spécifiques : leur usage pour tous au quotidien est donc discutable.

Quant à l’appellation « eau de source », elle signifie tout simplement que l’eau provient d’une source d’eau potable n’ayant subi aucun traitement.

Comment choisir ? Cela dépend des goûts. Un impératif : elle doit être la moins minéralisée possible.  L’eau est importante pour ce qu’elle emporte et non pour ce qu’elle apporte.

Si elle est indispensable pour purifier notre organisme, ce dernier est en revanche incapable d’assimiler tous les minéraux qu’elle contient sous peine d’épuiser les reins et de les encrasser.

Pour choisir votre eau minérale sans risque, examinez l’étiquette. La mention « résidus secs à 180 °C » correspond à la quantité de minéraux contenus dans votre bouteille d’eau. Ce chiffre ne doit pas dépasser 300 mg par litre (l’idéal étant qu’il soit inférieur à 60 mg). C’est le cas de nombreuses eaux, comme Montcalm, Rosée de la reine, Mont Roucous, … Et les autres ? On peut les boire de temps en temps, en cure.
 

Filtrer son eau

La filtration domicile est incontournable pour garantir l’absence de toute substance polluante (produits chimiques, bactéries, virus, résidus de médicaments, hormones, etc …) dont les effets combinés, même à faibles dose, sont inconnus aujourd’hui, que ce soit pour la santé ou pour l’environnement

 Quelles sont les techniques de filtration actuelles ?
Concernant la filtration au point de consommation, par opposition aux techniques de potabilisation de l’eau en usine, il existe plusieurs méthodes de filtration qui diffèrent essentiellement par la taille des particules retenues.

  • Les filtres sédiments
Les filtres à sédiments sont des fibres synthétiques de polypropylène compressées qui forment un tamis. Ils filtrent les particules de 50 à 1 µm environ : les boues, les sables, les particules de métal, les résidus végétaux, les matières organiques et la majorité des bactéries. L’inconvénient principal est que ces filtres sont à changer souvent, mais c’est un système très simple et très peu coûteux, généralement utilisé en tant que protection des autres filtrations.

  • Le charbon actif ça filtre comment ?
 Dans le cas des filtres à charbon actif, les particules filtrées sont adsorbées et non pas absorbées. La coque de noix de coco est réputée comme étant le charbon de plus haute qualité, mais le matériau calciné peut également être de la houille, du bois, de la lignite ou encore de la marne. Tous ces matériaux ne sont cependant pas utilisés pour l’usage alimentaire. Comme pour tout, il existe différentes qualités de charbon, ce qui induit des différences de prix chez les constructeurs de filtres à charbon actif.

On parle de charbon activé car ce dernier a été chauffé à très haute température pour chasser les impuretés et gaz indésirables, ce qui confère au charbon une porosité maximale et augmente le passage de l’eau à travers les fibres.

 Le terme charbon actif décrit une famille de produits adsorbants fabriqués à partir de tout matériau contenant du carbone. La porosité du charbon permet de retenir par adsorption certaines substances présentes dans l’eau. Les pores mesurent entre 2 et 50 nm. L’adsorption est la capacité que le charbon possède de retenir des molécules, qui viennent se coller à sa surface. La taille des grains de charbon conditionne la vitesse d’adsorption : plus le grain est petit, plus le transfert vers le centre est rapide.

Aussi, la très grande surface interne du charbon en fait le matériau le plus adsorbant. La surface d’échange développée est de 500 à 1600 m² par gramme. Pour vous donner une idée, à 1000 m².g-1, 3 grammes de charbon actif correspondent à une surface d’adsorption équivalente à la celle d’un terrain de foot. Enfin, l’ajout éventuel, avant l’activation, de sels comme le cuivre, le zinc, le phosphate, le silicate, déterminent les qualités adsorbantes du produit. Le charbon peut donc être élaboré pour l’extraction spécifique de telle ou telle substance.

Les polluants ont différents degrés de probabilité d’être adsorbés et donc arrêtés par le charbon actif. Etant une matière non polaire, il a peu d’affinités pour les éléments polarisés, c’est-à-dire solubles dans l’eau.

L’effet du charbon actif sur l’eau est donc influencé par différents facteurs :

- le type de composé à supprimer, puisque les composés qui ont un poids moléculaire élevé et une faible solubilité sont mieux adsorbés ;

- la concentration du composé à supprimer : plus la concentration est élevée, plus la consommation de charbon est grande ;

- la présence d’autres composés organiques, qui vont être en concurrence avec les sites d’adsorption disponibles, et le pH du flot d’eau sont également importants.

Les particules de charbon actif retiennent le chloroforme, le trichloréthylène, les haloformes, les trihalométhanes, 80% des métaux lourds, 50% du calcium et plus de 140 produits chimiques. Concernant les pesticides, il faut distinguer les pesticides solubles dans l’eau (comme le glyphosate), qui ne seront pas retenus pas le charbon actif, et les pesticides non solubles dans l’eau (comme l’atrazine). Pour certains produits chimiques comme l’urée, l’acétone ou le chlorure de méthylène, ou les bactéries, le charbon ne sera pas efficace. En ce qui concerne les résidus médicamenteux, a priori le charbon actif, tel qu'il est utilisé habituellement, c'est à dire en granulés ou en poudre, n'a pas la capacité de retenir les médicaments. Seule la technologie Carbonit qui est l'utilisation la plus performante du charbon actif en bloc, pouvant atteindre une filtration jusqu'à 0.003 microns, est susceptible de retenir les "grosses" molécules chimiques.

  •  Que sont les filtres céramiques ?

Ce sont des blocs de matière minérale microporeuse dont la taille des pores est comprise entre 0,5 et 0,2 microns. Il présente l’avantage d’être lavable et a donc une durée de vie plus longue. Ce système permet de filtrer les bactéries, mais ne convient pas pour les métaux lourds, le chlore et les pesticides. C’est pourquoi il est très souvent associé à un filtre à charbon actif.

Les filtres Carbonit que nous proposons sont tous sur charbon activés coques noix de coco et céramiques EM

Faut-il placer un autre filtre pour éliminer les bactéries ?

Oui car le filtre de charbon actif ne les élimine pas. Il constitue même un milieu favorable au développement des bactéries, la température et l’hygrométrie étant optimum. La taille des bactéries ne leur permet pas de pénétrer à l'intérieur du charbon, elles se développent en surface et forment un biofilm.

La taille des bactéries étant comprise entre 0.5 et 1000 µm, une partie de celles-ci ne sont pas retenues par les filtres à sédiment, dont les plus performants ne descendent pas en dessous du micron.

En pratique, l’on utilise les filtres à céramique, la micro filtration ou l’osmose inverse pour éliminer les bactéries.
L’ajout de particules d’argent permet d’empêcher le développement des bactéries dans le charbon actif. Mais cette technique est contestée car il a été détecté un risque de relargage d’argent dans l’eau en cas de saturation du charbon actif.

Quelle est la fréquence du changement de ce genre de filtre ?

Avec ce système, les résidus de filtration restent dans le filtre, ce qui induit des risques de relargage sous l'action de la pression (mais cela concerne uniquement les petites cartouches des carafes filtrantes). Il faut le changer souvent si l'on veut éviter la prolifération des germes sur le charbon.

La réglementation oblige les professionnels à remplacer les cartouches une fois par an (décret du 20/01/2001 applicable à tous les appareils à cartouche). Mais la fréquence de changement est a adapter en fonction du volume d’eau filtrée et de la concentration de celle-ci en substances à retenir.


Et concernant la filtration à charbon actif en bloc, quelle est la différence avec le filtre à charbon actif simple ?

Le charbon actif en bloc n’est plus en poudre mais est aggloméré par compression, ce qui forme une microstructure très dense. C’est un système de filtration qui élimine les particules entre 0,1 et 3 µm, les bactéries, les champignons, le chlore, le cuivre, certains pesticides et herbicides et certains virus comme les coliformes, les streptocoques et la polio.

Et les carafes filtrantes ?

Pratiques, elles améliorent la qualité de l’eau en procédant à un second « nettoyage », puisqu’elles filtrent plus particulièrement le chlore, le plomb, une partie du calcium et de l’aluminium – mais elles laissent tout de même passer les plus petites molécules polluantes. Moins pratique : leur utilisation est contraignante. Il faudrait changer la recharge plus souvent qu’indiqué (surveillez bien l’indicateur de niveau car les filtres saturés laissent tout passer). Il faudrait aussi laver la carafe tous les jours ou presque, sous peine de cultiver champignons et moisissures… ce que l’on fait rarement.

 Qu'est ce que  l'osmose inverse ?

 C’est un système mis au point par la Nasa pour recycler et purifier l’eau consommée et rejetée par les astronautes lors des vols spatiaux. L’osmose inverse est aujourd’hui recommandée par l’OMS car elle apporte une solution efficace au problème de la pollution de l’eau. Parmi les systèmes de purification de l’eau, c’est le procédé le plus performant.

L’osmose inverse est un procédé entièrement physique et non chimique : sous la pression du réseau (ou d’une pompe booster si la pression est insuffisante), l’eau passe à travers une membrane dont la finesse des perforations (0,0001 micron) ne laisse quasiment passer que l’élément H2O, plus quelques minéraux. Cette membrane, rejette les virus (0,1 à 0,002 microns), bactéries, turbidités (sable) et autres matières colloïdales, ainsi que les pesticides, détergents, nitrates, contaminants radioactifs, tous les métaux lourds, les composés organochlorés, etc.
Une partie de l’eau ressort au centre de la membrane, purifiée, tandis que le reste sert à rincer la membrane, avec une variation dans le débit, pour éviter son colmatage.
La production d’eau purifiée, selon le débit de la membrane va de 8 litres à l’heure pour les plus courants, mais peut atteindre 100 l/h pour des systèmes de collectivités.
Selon la minéralité de l’eau, sa pression, la présence ou non de pompe booster ou de pompe perméate, le rendement de la membrane varie de 1 litre purifié pour 5 litres rejetés à 1L / 1,5L pour les systèmes les plus performants. C’est un très bon rendement comparativement aux eaux en bouteille, puisqu’on consommerait 50 L d’eau pour produire 1 L d’eau en bouteille.
Cette membrane permet de rejeter entre 90 et 99 % des polluants et minéraux inutiles, selon leur nature.
Le chlore, les composés d'ammoniac et autres molécules indésirables, les parasites et les bactéries sont éliminés, ainsi que les virus (soit la plus petite entité vivante), et même la radioactivité...
 

Peut-on boire de l’eau adoucie ?

L’eau traitée par un adoucisseur est conforme aux normes en vigueur, mais boire de l'eau adoucie est déconseillé aux personnes fragiles (nourrissons, femmes enceintes, hypertendus, cardiaques...). En premier lieu à cause de sa teneur en sodium plus élevée que la normale, mais aussi parce qu’un adoucisseur dont l’entretien ne serait pas fait régulièrement et sérieusement pourrait favoriser une prolifération bactérienne.

 Quelle mesure prendre pour boire l’eau d'un adoucisseur ?

Le fait de conserver sur l'évier de la cuisine une ligne d'eau qui ne passe pas par l'adoucisseur est la solution la plus rationnelle. Si ce n'est le cas, les filtres à eau et les carafes filtrantes n’apportent pas de solution pour boire l’eau adoucie, leur action n’ayant aucun effet sur la teneur en sodium. Pour boire l’eau adoucie en toute sérénité, seul l’osmoseur domestique, avec sa membrane, apporte une réponse satisfaisante. Cet appareil, excessivement efficace pour la filtration de l’eau, doit lui aussi être entretenu périodiquement pour délivrer une eau exempte de tout reproche.

La filtration de l’eau du robinet la plus efficace est le système de purification par « osmose inverse », capable d’éliminer des particules de taille inférieure au millième de micron. Il se branche sur les canalisations avant l’arrivée d’eau ou sur le robinet, ou se pose simplement sur le plan de travail. Mais son installation coûte cher (entre 500 et 1 000 euros, appareil compris) et nécessite un entretien régulier et onéreux à long terme (le préfiltre doit être changé souvent). Ce système est également coûteux en eau. Pour fonctionner, il a besoin d’une eau dite de saumure, qui est éliminée et emporte avec elle tous les déchets : pour consommer un litre d’eau filtrée, on peut ainsi « dépenser » jusqu’à quatre litres ! Avec l'osmoseur de table nomade, bien moins cher et surtout sans installation sur plomberie, vous bénéficiez d'une eau pure osmosée, dont le coût d'entretien est réduit.

  Le pH

Il s’agit de la mesure de l’acidité de l’eau.

Si on boit une eau trop basique (l’inverse de l’acidité forte), on peut contrarier à terme le potentiel de digestion de l’estomac qui se réalise en milieu très acide puis, par contrecoup, contrarier aussi le travail du pancréas.

La suite de la digestion se fait mal, car les bactéries de putréfaction prennent le dessus sur celles de la fermentation qui nous sont plus utiles.  La flore de fermentation (bifidum, colibacilles) est en effet celle qui répare les muqueuses de l’intestin, celle qui produit des vitamines (vitamines K et B par exemple) et celle qui module notre réponse immunitaire vis-à-vis des aliments eux-mêmes !

 La température

Il faut boire le plus souvent chaud : le matin au lever de manière abondante, après le jeûne prolongé de la nuit, mais aussi dans la journée, entre, mais pas  pendant les repas. L’eau chaude réchauffe et aide à la digestion.

  Le degré d’oxydation

Oxyder une eau est nécessaire pour la désinfecter des bactéries qui sont présentes dans les réseaux, parfois en trop grandes quantités. C’est ainsi que l’on utilise du chlore (eau d’adduction), de l’ozone (piscines), du peroxyde d’hydrogène, etc … pour lutter contre les germes de l’eau.

Cependant, boire une eau oxydée à long terme, c’est … s’oxyder soi-même, donc vieillir quelque peu à chaque verre absorbé. Il vaut donc mieux éviter de boire à long terme les eaux oxydées.

Après filtration ou osmose, l’eau de ce point de vue devient très acceptable du fait de l’élimination des molécules oxydantes résiduelles présentes (chlore et chloramines) dans les eaux d’adduction.

L’oxydation de l’eau est une valeur méconnue, très largement sous-estimée : pour un aliment aussi essentiel que l’eau, son impact sur la santé est pourtant très important.  Boire ou manger des aliments oxydés tous les jours amène logiquement aux maladies de l’oxydation et du vieillissement (cancers, thrombose, infections froides à bactéries et à virus, accidents vasculaires et infarctus). Avec l'hydrogène moléculaire anti oxydant naturel vous regagnez en jeunesse

 

La salinité ou dureté de l’eau

Il s’agit là de la teneur en minéraux, dont l’essentiel est constitué par la présence de calcium et de magnésium. Cette valeur se lit aussi sur les étiquettes des eaux en bouteille.

Les eaux à minéralité globale élevée, entre 1600 et 4300 mg/litre (Hépar, Contrex ou Vichy) sont à déconseiller aux personnes qui veulent nettoyer leur sang et leur tissu conjonctif (intoxication, obésité, surpoids), car ces eaux sont trop salées, ce qui favorise plutôt la rétention d’eau et moins le drainage des tissus.

Les eaux de source, entre 25 et 110 mg/litre (Mont-roucous, Montcalm, Celtic, Volvic) ou encore les eaux traitées par osmose, entrent à l’inverse dans la catégorie des eaux très peu salées et sont donc des eaux de drainage à proposer aux personnes en surpoids. Pour les personnes maigres, il faut au contraire corriger ce relatif manque de sels minéraux.

 La quantité

Il faut boire selon sa soif tout en essayant … de ne pas oublier de boire.  La recommandation classique est d’absorber jusqu’à 30 ml d’eau pure par kilo de poids et par jour.  Boire beaucoup est bon pour les personnes de corpulence médiane et surtout pour les personnes maigres, qui sont vite déshydratées, alors que les personnes en surpoids n’ont pas besoin de boire en rapport avec leur poids, disposant d’un volume d’eau interne suffisant. 30 ml/kg/j est une indication valable pour les personnes de poids normal ou plutôt réduit. Pour les autres en surpoids, il faut boire, mais pas trop : 30 ml/kg et par jour doit se calculer alors sur le poids idéal minimum et non pas réel.

Le plus important pour tout le monde est de boire chaud et goûteux (avec herbes ou tisanes), ce qui aidera inévitablement à atteindre la bonne dose d’hydratation journalière ; lorsqu’on boit ainsi, on arrive facilement à augmenter sa quantité de boisson de 10 à 20% ! Ce qui constitue une véritable révolution pour le corps et un réel traitement médical, si l’eau est de bonne qualité.

Boire plus, c’est toujours améliorer des problèmes de santé comme les inflammations de la peau, la constipation, les différents types de cystite ou les maux de tête ou de dos, qui sont souvent les premiers signes d’une déshydratation chronique.

 L’énergie de l’eau, sa structure et le vortex

L’eau n’est pas qu’un tas de molécules de H2O sans organisation : il s’agit en fait d’un réseau, d’un véritable cristal liquide, en perpétuel remaniement, à un rythme très élevé de 1012 fois par seconde.

Ce réseau très fin est porteur d’informations, par exemple si l’eau a contenu des polluants, leur mémoire reste gravée dans la structure de l’eau.

Or, pour qu'une eau soit réellement saine, pour une bonne santé, elle doit être correctement informée, donc ne contenant pas de mémoire de substances nocives, même si ces substances ont été enlevées.

Non seulement l'eau doit être exempte de ces informations néfastes, mais elle doit aussi comporter les informations vitales pour le processus vivant.

Une eau simplement purifiée d'un point de vue chimique ou physique garde donc toujours des traces des « polluants » précédents. Ces informations vitales sont perdues par stagnation, dans les canalisations, suite aux pollutions diverses, chimiques, comme électromagnétiques. Le chlore qui est utilisé pour rendre l'eau potable d'un point de vue microbiologique est aussi un polluant fortement oxydant.

Les traitements qui éliminent les polluants et composants toxiques (filtration, osmose inverse, ...) n'éliminent pas la "mémoire" de ces informations néfastes

En matière de santé, pour que l'eau soit saine et acceptable, il faut donc aussi la régénérer, la re-dynamiser pour qu'elle retrouve les informations vitales de son cycle naturel, c'est là que l'on parle "d'eau dynamisée"...

L'eau doit donc être « pure », mais aussi « vivante », donc dynamisée

L’eau redevient un réseau pur, porteur d’informations originelles 

Le passage par un dynamiseur à vortex est le moyen privilégié pour obtenir une eau dynamisée et structurée, pleine d’énergie mécanique et lumineuse, en effet au sein du vortex, la pression de gravitation diminue et donc le champ magnétique augmente, ce qui rend l’eau naturellement magnétisée et restructurée physiquement. Les mémoires sont annulées.

Viktor Schauberger, ne recommandait-il pas à propos de la dépollution de la mémoire de l'eau, la conjugaison d'un filtre intégré efficace avec un système de redynamisation tourbillonnaire ?. ( Ch.12 Le génie de Victor Schauberger éd. Le courrier du livre)

Lorsque vous contemplez la nature, le mouvement naturel de l'eau n'est pas rectiligne, mais dessine des spirales ou des mouvements de vortex. Dans un cours d'eau, les vortex se forment dans l'axe du courant et leurs rotations s'effectuent alternativement dans le sens des aiguilles d'une montre puis dans le sens contraire. L'ensemble de la vie est concernée par ce mouvement fondamental de l'énergie des fluides. Les animaux, les coquillages, le limaçon de notre oreille, notre tube digestif, l'ADN, les végétaux offrent de magnifiques représentations de ce mouvement torsadé, base de leur structure et de leur développement.   "l'univers est régi par le principe de dualité" A.Einstein

A noter que d'un point de vue composition purement chimique, cette eau dynamisée est rigoureusement identique, mais ses informations et sa structure sont par contre différentes.

Il n'est pas non plus question d'effets psychologiques, les plantes ou les animaux sont eux aussi sensibles à l'eau qu'ils reçoivent.
Les rendements, tant quantitatifs que qualitatifs, sont significativement différents.

 L’eau idéale à boire pour chacun

Quelle eau faut-il donc boire ?
  • C’est un choix important, puisqu’il conditionne quelques 70% de notre volume de base.
  • Selon les  critères de qualité cités plus haut, il s’agit de disposer de :
  • Une eau de pH situé entre 6.5 et 7.2, pas plus.
  • Une eau présentée chaude ou à température voisine de 37°C.
  • Une eau dont le taux des bicarbonates est nettement supérieure à celui des sulfates et des phosphates (voir sur les étiquettes des eaux en bouteille).
  • Une eau peu minéralisée (< 300 mg par litre) pour les personnes en surpoids et un peu plus pour les personnes maigres.
  • Une eau désoxydée, après élimination au moins de tout oxydant (comme le chlore) par filtration et osmose
  • Une eau abondante, autour de 30 ml/kg/jour, sous la forme d’eau pure, de soupes et de bouillons, de tisanes ou de jus d’herbes, de façon à en privilégier le goût (éviter le thé noir et le café, qui sont des diurétiques).
  • Une eau vivifiée au sein d’un appareil à vortex.
  • Une eau ré-informée par ondes de forme basées sur l'harmonie avec la fleur de vie et le nombre d'or
  • une eau anti oxydante ionisée hydrogénée.

Pour boire une eau pure,  selon nous  il serait bien de filtrer mécaniquement l’eau distribuée au robinet, la vortexer pour la revitaliser et la dynamiser, et lui apporter l'ionisation avec l'Hydrogène moléculaire super anti oxydant naturel et enfin la conserver dans des carafes revitalisantes avec fleur de vie. C'est incomparable !